It’s hard to go home, une exposition de Elena Costelian. Du 8 au 24 septembre 2021.

© Elena Costelian
© Elena Costelian

Comment habiter le monde ? C’est la question posée par le projet It’s hard to go home. A l’instar du projet Je rêve, It’s hard to go home revisite les rêves à travers différentes cultures. Telle l’image emblématique du rêve américain, la route est un hôte. Après la route américaine de Je rêve, It’s hard to go home nous amène à Athènes et propose un road movie des vestiges de l’Antiquité. De l’acropole à Delphes, on part à la rencontre des dieux grecs, descendus de l’Olympe pour nous contempler encore et toujours.

Le projet propose un retour aux fondements de la culture européenne. Le second volet de l’exposition s’attache plutôt à la notion de tourisme, à travers le projet Behind the scene, qui nous convie à une visite dans les coulisses de l’institution qui représente la paix dans le monde : l’ONU, mis en perspective avec un fragment du projet Tchernobyl on tour ; une marche dans la Zone contaminée.

Les deux propositions sont le résultat d’une déambulation aléatoire dans des lieux et des mondes où la seule question est et demeure « quelle est notre part de liberté ? ».